batardapiss

La suite du plan est devenue plus hard et plus chaude. Le maître m'a fait mettre sur le dos et m'a tremplé. Il a commencé mon entrainement qui, à partir de maintenant, va se poursuivre.  Il n'y a pas de peur à avoir. Il a commencé à marcher sur mon abdomen puis s'est mis debout un pied sur les abdos et l'autre sur le plexus et mes pecs. Il me dominait et je voyais sa figure me regarder de haut avec dénigrement. J'ai ouvert la bouche et il a commencé une séance de bon mollard fond de gorge sur ma gueule et dans ma gueule. J'ai tout avalé avec plaisir.

Il m'a demandé ce que je faisais avec Maitre ARROGANT chez qui je larbine au moins une fois par moi le dimanche matin. J'ai répondu que je servais de cendrier et d'urinoir. Ceci l'a interessé. Il s'est alors rendu compte par lui même que je suis un avaleur de cendre de cigarette. J'étais à ses pieds, derrière un rideau, tandis que lui fumait à sa porte fenêtre avec tout les immeubles en vis à vis, on pouvais presque me voir, mais lui, apparemment, s'en fichait, ce qui m'a encore plus excité.

Les mains en arrière, à genoux, le torse en avant, j'avais la gueule ouverte en remercaint M à chaque cendre de cigarette tombant dans ma gorge. La cigarette est nocive à avaler, mais c'est bon ce petit gôut acre et cet état de petite brulure sur la langue qui s'amenuise de suite puisque la bouche est toujours humide, stopant immédiatement l'incandescence des cendres. C'est ça être un inférieur. On ne demande rien, on reçoit, on se réjouit de subir. Merci au MAITRE pour tout ce qui m'est donné.

Il me tire par les cheveux vers la cuisine et je le remercie dans ma tête et me délecte du déroulement de cette journée. Il s'assoit sur une chaise et me pose des questions sur le pop que j'ai apporté. Je lui explique que cela me donne encore plus de soumission, cela me met à accepter d'avantage. Il accepte mon explication et je prends deux bouffées longues par narines.

Une fois bien chouté par le popers, M m'enfile la cagoule latex qui s'avère très moulantes de visage avec très peu de moyens pour respirer. L'odeur de latex est forte et excitante. Un tuyau fin rentre dans ma bouch et sort du masque principalement pour la respiration. C'est une sécurité pour ne pas étouffer. Ce masque en effet comporte quelque risque s'il est mal mis. Les trous devant le nez étant tout petits, s'ils ne se trouvent pas parfaitement en fasse des narines, on ne peut plus respirer par le nez.

Je reprends comme une bonne larve le nettoyage avec le récurage du sol de la chambre. Je n'y vois presque rien, et respire très fortement par mon petit tuyau de bouche, ce qui fait marrer M. Je m'applique à fotter, mais M voit que le travail est moin bon. Il va chercher sa batte de skin pour me faire activer. Il s'en sert pour me donner quelques tappes aux fesses et appui avec sur mes burnes. Je me mets direct à bander, mais il ne le voit pas nécessairement à travers mon slip noir moulant licra.

Je reviens finalement à la cuisine et MASTER M me demande si j'ai soif. Je comprends tout de suite ce qu'il veut entendre par là et je lui dit "oui". Il installe une gammelle de clebs au sol et commence à se soulager. Je dois lécher ses premiers jets. Puis insatisfait pas les éclaboussures qu'il me fait d'ailleurs lécher, il me demande ensuite de boire à la source, ce que je m'exécute de faire immédiatement.

"Je vais te remplir" me dit-il, "t'inquiète pas, j'en ai au moins un litre". C'est vrai que les bouteilles de panaché que j'avais apportées ont servi à lui remplir la vessie. Ca pisse est gouteuse mais assez forte tout de même. Au début c'est agréable, mais ensuite, il faut arriver à avaler au fur et à mesure la grande quantité de liquide. Il va pourtant doucement mais le liquide coule sans cesse en un jet fin pendant près de cinq minutes. "Je vais bien te remplir crevure, tu va être ma cuve à pisse". J'apprécie cet instant qui est la fin du plan.